Foutre fractal

Flovon gradouille de troustique jamendeux. Ha ah ha ah AH OH… Kipotdarte, kreustembaum et grawercasde qui houhoudingue la zameutière. Yaya greluche la pelle mécanique jujutipite trop buvidale. Un doigt dans la mimi hustine qui me froutige le potfujère Maman! Jean Hus ritte dragal moulinette wombinine fruttto-fruttto avez-vous lu la Bible dernièrement ? Espagne poupouteuse bicarbonate de salami la fargtonde harside qui dostérise la fibre de mes klokfinisses

maintenant trêve de balivernes félicitations vous vous êtes rendus jusqu’ici bravo c’est signe que vous ne faites partie d’aucune élite comme moi qui suis protégée de la pluie spermeuse de mes grand-papas sordides je me la coule douce loin de la tyrannie des lexicographes ce qui me laisse le temps de m’épiler les dents et enfin contempler avec des yeux exempts de farines animales un avenir qui se veut radieux et rempli de joies simples comme transformer mon clitoris en cafetière c’est la fin de tout c’est la fin de tout c’est la fin de tout la saison des charniers est arrivée nous y enfouirons tout Disneyland nous y enfouirons la Pléiade et tout ce qui peut se déchiffrer et tout ce qui a l’audace de se présenter comme ayant un sens toutes les ordures que la culture nous a enfoncé dans le crâne c’est la fin de la littérature elle est morte depuis si longtemps c’est la fin de la poésie c’est la fin c’est la fin c’est la fin de la beauté molle des foires commerciales dansons loin des censeurs et des esthètes loin des savants et des critiques loin des vendeurs de rand social c’est la fin il n’y a plus rien à dire à part que j’aime lécher des klokfinisses.

Salade de roches

J’empaille des syllogismes dans la cuisine et on m’empale le sophisme dans la chambre à coucher.

Profitez de nos aubaines – des nouvelles du front – mort de la fille d’aspect cuir véritable – pour un temps limité – des rigoles de douleur – oignons sexuels – pot rustique pour infirmier mégalomane – vaste offensive des soldes analphabètes – mes melons moulés sur la plaine pleine de peines péniennes- vélo volé du mâle maléfique, mais mouvant – deux nouilles oranges et limonade rose – un repas en quinze minutes avec ce qui se trouve dans votre grenier – les libéraux ont de grandes aiguilles – Big Bang format familial – craie crue carnivore – canard en vitre – connard en mitre – pire pétoncle que ptérodactyle – Crudité du champ de bataille national – mort de l’ail dans l’outre perlée – potiron poisseux vive la papesse poitrinaire – de l’huile l’éponge du Christ et de la poussière comme liant – il me manque des cailloux pour poncer mes dents et devenir enfin angélique

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Debout, le réservoir de Jérusalem!

(Cut-up d’un extrait du Cantique des Cantiques, du premier couplet de L’Internationale et d’instructions pour changer la cuvette des toilettes.)

Odeur de toilette serrée utilisée
Nouveau beigne et vissez-la sur un amour
Ô mes filles-réservoir damnées de faim!
Là où va la bride qui m’introduit !
Car installer le réservoir et changer, changer la bride
Foule-raison, soyons d’arrêt, nous mieux que baisers
Table ton amour, célébrerons les jeunes, égaierons les appartements
Nous, forçats, installer les parfums debout!
Les boulons, l’alimentation, toi mon aimé
Nous filles, debout!
Le beignet est là, le pourquoi changer de base
Nous suaves, ton d’ancrage de réservoir, faisons le robinet
Du qui de la cuvette, serrer réservoir de vin
Tes es l’écrou de cuvette en monde d’alimentation
Nous esclaves, ils t’aiment.
Entraîne-moi, courrons!
Au nom, après l’éruption de vin.
C’est cache-boulon, bronzée, qui répand
C’est la terre!
Debout! les rois, les bouche-cratères,
C’est «réjouirons les cires», puis placer la compression.
Qu’il les aime!
Je suis la raison des boulons de Jérusalem.
Debout! Boulons, mais rien, mes écrous
Mesurer les tube en baise, à cause de toi!
Que toilette… positionner tout!
Tonne de parfum vaut mieux que raccorder
Nous passés: quelle fin.