De quoi? De vin, de logique, de théorie

(Cut-up d’un article de vulgarisation sur le théorème d’incomplétude de Gödel, un récit urophile trouvé sur internet et Enivrez-vous de Baudelaire.)

Vérité universelle : c’est-à-dire qu’il existe une théorie suffisante pour faire passer un petit paquet ensanglanté pour glisser et s’accroupir dans un râle, le cadre de cette variable entre ses lèvres intimes.

Par curiosité, le théorème affirme qu’il existe un énoncé exprimant sur mes jambes mélange de mouille, urine et autres sécrétions intimes.

J’ai ouvert encore plus grand le compas ne donnant pas de réponse mais permettant d’écarter l’heure qu’il est. Et le vent, quoi ? De vin, de poésie, de vertu, des hypothèses, il faut vous enivrer sans trêve.

Mais quelquefois la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront :

« Tout ce qui gémit, à la fin de la théorie — le fait qu’elles se sont ouvertes pour laisser l’ivresse sans cesse ! De vin, de poésie ou seulement de relatives suites comme le plaisir.

Écartant des énoncés sur lesquels on sait du côté de la porte. L’ombre de deux pieds sans sentir l’horrible fardeau du Temps et le passage à tout ce qui parle, demandez qu’elle soit nécessairement incomplète, comme femme mûre prenant son pied.

Il faut baiser, fouiller n’importe quoi — et sur quoi se fonder pour savoir l’arithmétique qui chante qu’on ne pourra jamais rien dire dans sa tête. Improvisé sur une couverture à même la démonstration dont la vérité de son sexe nous fit perdre toute retenue : les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous. Tout ce que la lumière dit aux mathématiques ? Les théorèmes de Gödel ne sont pas de vertu, à votre guise. »

Soudain, j’ai l’excitation théorème, mais enivrez-vous.